• Voici un petit clip marrant de Natoo !!!!!

    https://www.youtube.com/watch?v=a021WhobrLc

     

     

     


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  • As tu un(e) pire ennemi(e) ?

    Es ce que elle/il essaye de te volé ta/ton meilleur(e) ami(e).

    Tu essaye de rester avec ta/ton meilleur(e) amie et que ta pire ennemie soit loin d'elle.

    Après essaye de ne pas faire d'histoire avec ta meilleure amie.

    et après ta meilleure amie devient ta meilleure amie pour toujours.enfin presque.

     


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  • Bonjour, nous sommes 3 filles qui avons crée ce blog pour vous aider dans tout les petits problèmes de la vie quotidienne.

     

    Si vous avez un problème, une demande ou commentaires n'hésitez absolument pas pour nous le demander


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  • Coucou tout le monde, voici un autre conseil :

    Si tu as un choix très difficile à faire :

    1) Réfléchis bien au quel te ferai le plus plaisir ou auquel tu aurais le moins d'occasions de le faire.

    2) Fais toi une liste de tout les inconvénient de chaque et aussi une de toutes leurs qualités

    3) Si les deux te font autant plaisir tu peux demander autour de toi ce qu'ils préfèrent eux.

    4) Si tu ne peux/veux pas il faut te lancer.

    Après ça on espère que tu auras fais le bon choix et que tu ne sera pas déçu.


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  • Salut

    Si vous voulez un nouvel article mettez le en commentaire !

    Merci


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  • Bonjour voulez-vous un autre conseil ? Alors le voila :

    Un jour que tu es dans la rue et que tu entends des gens te regarder en riant :

    1) Tu ne les regardes pas.

    2) Tu te dis que ce n'ai pas pour toi qu'ils rigolent.

    3) Tu demandes à des gens proche si il y a quelque chose qui dérange ou bien de bizarre chez toi.

    4) Tu te dis "ils peuvent penser ce qu'il veulent de moi tant que moi je m'aime comme je suis.


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  • Salut tout le monde nous espèrons que vous allez tous bien.

    nous pouvons mettre ce que vous voulez sur notre blog.

    - Des vidéos

    - De la musique

    - Des images

    enfin bref,

    Notre blog peux devenir génial grâce à vous.

     


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  • Cliquer sur le lien, vous verez c'est un super site de jeu et de test !!!

     

    http://www.kidadoweb.com/tests-personnalite-enfants.htm


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  • Une veuve vivait dans une maison coquette avec ses deux filles qu’elle avait prénommées Blanche-Rose et Rose-Rouge parce qu’elles ressemblaient aux boutons des deux rosiers sauvages, l’un blanc, l’autre rouge, qui croissaient en son jardin. Blanche-Rose et Rose-Rouge étaient des enfants bonnes, sages, travailleuses et vaillantes ; elles s’aimaient de tout leur cœur. Quand Blanche-Rose murmurait : " Nous nous aimerons ", Rose-Rouge répondait : " Toute notre vie " et leur mère ajoutait : " Ce que l’une aura, elle le partagera avec l’autre ". Ensemble, elles allaient au petit bois cueillir des fraises ; les animaux de la forêt les connaissaient bien. Le lièvre venait en boule rouler à leurs pieds et grignoter la carotte qu’elles lui avaient apportées. Les cerfs les égayaient de leurs bondissements majestueux et les oiseaux, au faîte des arbres, pépiaient et chantaient à gorge déployée. Quand elles s’attardaient dans la forêt et que la nuit les surprenait, elles couchaient l’une contre l’autre sur la mousse odorante, et s’endormaient jusqu’au matin. Leur mère ne se faisait pas de souci car elle savait qu’elles ne risquaient rien. Blanche-Rose et Rose-Rouge aimaient tant leur maison qu’elles la soignaient à longueur de journée. A la saison d’été, Rose-Rouge faisait le ménage et déposait tous les matins, avant que sa mère ne se réveillât, un bouquet de roses blanches et de roses rouges. A la saison d’hiver, c’était Blanche-Rose qui entretenait l’âtre où brillait la marmite de cuivre pendue à la crémaillère. Or, un soir d’hiver : - Blanche-Rose, va mettre le verrou, dit la maman. Puis elles s’assit près de la cheminée, mit ses lunettes et commença un conte. Les fillettes écoutaient en filant. A leurs pieds, un mouton, la tête entre les pattes, se chauffait, et les colombes sur leur perchoir roucoulaient encore un peu avant de mettre la tête sous l’aile Tout à coup, on frappa à la porte. - Va vite ouvrir, Rose-Rouge, dit la mère ; un homme, peut-être, veut s’abriter. Rose-Rouge tira le verrou, et un gros ours brun passa la tête dans l’entrebâillement de la porte. Rose-Rouge affolée, se jeta derrière le fauteuil de sa mère et Blanche-Rose se cacha derrière le lit. Le mouton était paralysé de terreur, et les colombes voletaient de tous les côtés.> - Que craignez-vous ? Je ne veux de mal à personne, j’ai surtout si froid ... - Viens, mon pauvre ours, dit la mère. Viens te coucher près du feu. Blanche-Rose et Rose-Rouge, sortez de vos cachettes, petites peureuses. Les deux fillettes, tranquillisées, s’approchèrent. Le moutons et les colombes aussi ... - Chères enfants, retirez-moi cette neige de ma fourrure. Avec une brosse, elles lissèrent le pelage épais du gros ours brun qui s’étendit devant l’âtre en grognant de plaisir. Ayant perdu toute peur et toute timidité, elles s’amusèrent à l’envi avec leur nouvel ami. Il était lourd et pataud. Elles lui tiraient les poils, enfonçaient leurs petites mains dans la fourrure chaude comme un nid, ou bien, avec une baguette, le taquinaient. De temps en temps, lorsqu’elles allaient un peu trop fort et partaient d’un grand éclat de rire, il grognait : - Blanche-Rose, Rose-Rouge, ne tuez pas votre fiancé. L’heure du coucher sonna à la vieille horloge ; les deux enfants s’en allèrent au lit sagement. La man dit à l’ours : - Reste là si tu veux, près du feu. Il fait trop froid dehors. A l’aurore, il s’en retourna dans les bois d’où il était venu. Les jours qui suivirent, ponctuellement, l’ours revint au logis. Les fillettes ne fermaient plus la porte avant qu’il ne fût revenu se coucher devant l’âtre où il jouait avec elles des heures durant. Quand le printemps reverdit toutes les plantes, tous les arbres, l’ours dit adieu à ses amies pour aller vivre tout l’été dans la forêt. - Mais pourquoi donc ? s’étonna Blanche-Rose. - Pour empêcher que les méchants nains ne volent mon trésor. L’hiver, la terre est gelée, les nains ne peuvent sortir des profondeurs de leurs grottes. Au printemps, le soleil réchauffe et dégèle le sol. Ils vont sortir, venir me piller, et ce qu’ils dérobent, on ne le retrouve jamais. Blanche-Rose et Rose-Rouge se résignèrent à leur chagrin. En passant dans l’ouverture de la porte, l’ours accrocha au loquet un morceau de son pelage. Blanche-Rose crut voir briller sous la peau l’éclat de l’or, mais l’ours s’enfuit ... Quelques semaines après, tandis que les fillettes allaient ramasser du petit bois dans la forêt, elles rencontrèrent, sur un arbre abattu, un nain tout ridé dont la longue barbe blanche était prise dans une fente. Il sautait de droite et de gauche sans pouvoir se tirer de ce mauvais pas. - Pourquoi me regarder de la sorte ? vous feriez mieux de m’aider, lança-t-il aux fillettes. - Que fais-tu là ? répliqua Rose-Rouge. - Sotte que tu es ! Curieuse ! En coupant du bois en très petits morceaux, j’ai coincé ma belle barbe. Me voilà bien pris ! Je ne peux plus m’en aller ! Cela vous fait rire, visages de cire ! Fi donc ! Comme vous êtes vilaines ! - Je cours chercher de l’aide, s’exclama Rose-Rouge. - Tête de linotte ! grogna le nain. N’êtes-vous pas assez grandes pour me tirer de là ? - Prenez patience, dit Blanche-Rose en fouillant dans ses poches. Elle exhiba une paire de ciseaux et se mit à couper le bout de la barbe. A peine libéré, le nain prit le sac caché entre les racines de l’arbre et ronchonna : - Qu’elles sont stupides ! Avoir coupé ma si belle barbe ! Il jeta le sac sur ses épaules et s’en alla sans un mot de remerciement. A quelque temps de là, les deux fillettes voulurent pêcher des poissons. Elles allaient s’installer près du ruisseau, quand, sur la rive, elles aperçurent, qui sautait dans tous les sens, une sorte de grosse sauterelle. En s’approchant, elles reconnurent le nain. Rose-Rouge, étonnée le questionna : - Veux-tu sauter dans le ruisseau ? - Sotte, je ne suis pas si bête. Mais voyez ce poisson de malheur ... Le nain en pêchant avait pris sa barbe dans la ligne ; un poisson énorme pris l’hameçon allait entraîner la faible créature qui n’avait pas la force suffisante pour se tirer d’affaire. Il se cramponnait à toutes le tiges, à tous les brins d’osier, mais il ne pouvait plus lutter. Barbe et fil étaient si entremêlés que la seule solution était de couper un peu plus la belle barbe blanche. Libéré, le nain s’écria : - Mes pauvres filles, vous êtes toujours aussi sottes et laides ; me voilà dans un bel état ! Puis, ramassant un sac de perles fines dissimulé dans les roseaux, il disparut derrière une pierre. Quelques jours passèrent. La maman eut besoin de fil, d’aiguilles, de dentelles et de rubans ; elle envoya ses filles à la ville, chez la mercière. Le chemin qu’elles devaient prendre passait par une clairière semée de rochers. Comme elles l’atteignaient, les fillettes virent dans le ciel un grand oiseau qui tournoyait lentement, dans un long vol plané. Soudain, il s’abattit sur le sol. Elles entendirent un cri de douleur. S’étant approchées, elles reconnurent avec effroi leur vieille rencontre, le nain, qu’un aigle avait saisir dans ses serres et allait emporter. Courageusement, les deux enfants se saisirent d’un bâton et se précipitèrent à son secours. Elles se battirent tant et tant pour arracher le petit homme aux serres de l’oiseau qu’à la fin, elles vainquirent. Tout juste remis de sa peur, le nain glapit : - Vous avez déchiré mon bel habit. Vous êtes toujours aussi sottes et maladroites, et toujours aussi laides, tout juste bonnes pour aller au diable ! Chargeant alors sur son dos un sac de pierres précieuses qui se trouvait derrière un gros rocher, il se faufila dans une crevasse ouverte dans le sol. Les fillettes, habituées à cette ingratitude, ne s’émurent pas outre mesure, et continuèrent leur chemin jusqu'à la ville. Le soir, en revenant, elles prirent le même sentier qu’au matin ; elles surprirent le nain en contemplation devant les pierres précieuses qu’il avait vidées de son sac et qui éclataient de mille feux aux lueurs du couchant. Émerveillées, elles s’arrêtèrent : -Vous ne savez que bayer aux corneilles, décidément ! jeta le nain, tout rouge. Partez d’ici ! Et, tandis qu’il criait sa colère, un grand ours brun sortit pesamment des buissons. Le nain, fou de terreur, fit un saut en arrière en hurlant : - Monsieur l’ours, laissez-moi la vie ; je vous donne toutes ces pierres précieuses. Je suis tout petit, si chétif. Voyez ces deux fillettes, grasses comme des oies. Elles feront bien mieux votre affaire. D’un seul coup de patte, sans autre forme de procès, l’ours supprima le méchant nain pour toujours. Les deux sœurs affolées allaient s’enfuir quand l’ours murmura : - Blanche-Rose, Rose-Rouge, je suis votre ami. Au son de cette voix connue et aimée, les fillettes se retournèrent. Quel étrange spectacle ! La peau de l’ours tombait lentement et, sur le pelage qui faisait un tapis, se dressait un bel homme tout d’or vêtu. -Je suis fils de roi, expliqua-t-il. Ce maudit nain m’a jeté un sort en volant mes trésors. J’étais condamné à courir les bois sous la forme d’un ours sauvage jusqu'à ce que sa mort me délivrât. Il a reçu le châtiment qu’il méritait ... Blanche-Rose épousa le prince et Rose-Rouge, le frère du prince. Ils partagèrent l’immense trésor que le nain avait amassé et vécurent ainsi dans l’opulence. Leur maman devenue vieille, fut invitée à venir vivre au milieu de ses enfants et petits-enfants. On transplanta dans le jardin du palais royal les deux rosiers qui avaient vu grandir les fillettes et ils donnèrent des roses plus belles d’année en année.  


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